Épisode 7
Ça va mieux...

Ça va mieux quand on a tout compris

Max vient d’être papa. Sa fille Zoé est née il y a peu. Il découvre les nuits sans sommeil, les biberons à laver, les couches à changer et tout le stress qui accompagne une naissance. En plein doute, il se remet en question et s’interroge sur l’avenir de son enfant : qu’adviendra-t-il de Zoé s’il lui arrive quelque chose ? Comment s’assurer qu’il pourra prendre soin de Zoé quoi qu’il arrive ? Max va se rassurer en prouvant qu’en étant un expert de la complémentaire santé et de la prévoyance, plus rien ne lui fait peur.

Et vous, est-ce que ça va mieux ?

Entre la complémentaire santé et la prévoyance,
difficile de tout savoir !

À travers ses aventures, Max a appris beaucoup de choses sur la mutuelle et la prévoyance ! Il maitrise maintenant les sujets et avance plus sereinement dans sa vie car il sait qu’il est bien couvert. Et vous, avez-vous perfectionné vos connaissances ? Avec ce grand quiz, vous allez pouvoir le vérifier. Alors préparez-vous, ça commence !


Comme Max, vous êtes déjà un expert de la complémentaire santé
et de la prévoyance ?

Trouvez l’offre qui vous correspond juste ici




Bienvenue au Grand Quiz « Ça va mieux » !

Faites le quiz et, comme Max, devenez un véritable expert de la complémentaire santé et de la prévoyance.

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Idée reçue #1

« La Sécurité sociale rembourse tous mes soins de santé. Je n’ai pas besoin
d’une mutuelle ! »

Bien-sûr
Pas du tout !

Pas du tout !

Plus connue sous le nom de Sécurité sociale, ou « Sécu » pour les intimes, l’Assurance Maladie obligatoire rembourse une partie de vos dépenses de santé, mais ne couvre pas totalement les frais engagés et pas tous. Quand vous allez à la pharmacie, chez le dentiste, chez votre opticien ou à l’hôpital, ce qui n’est pas remboursé par la « Sécu », qu’on appelle le « reste à charge », peut être élevé. C’est variable. C’est pourquoi il existe des complémentaires santé, ou des mutuelles santé, qui interviennent en complément de la sécurité sociale.




Idée reçue #2

« Le reste à charge, le ticket modérateur ou le tiers payant, c’est la même chose. »

Vrai
Faux

Faux.

Le reste à charge est ce qui reste à votre charge après le remboursement de la Sécurité sociale et de la complémentaire santé.

Le ticket modérateur est la différence entre le tarif Sécurité sociale de l’acte (consultation, examen sanguin, entre autres) ou du dispositif médical (implants, prothèses, lunettes…) et le montant du remboursement de la Sécurité sociale.

Le tiers payant est un dispositif qui consiste à ce que l’Assurance Maladie et la mutuelle remboursent directement le professionnel de santé. Vous n’avez donc pas d’avance de frais.




Idée reçue #3

« La réforme de la Protection Sociale Complémentaire concerne les agents de la Fonction Publique et les salariés du secteur privé. »

Exactement !
Et non

Et non.

La réforme de la PSC ne concernera que les agents et contractuels de la Fonction publique d’Etat, hospitalière et territoriale. Elle a justement pour objectif d’aligner la couverture santé du secteur public sur le secteur privé.

Entre 2024 et 2026, l’ensemble des employeurs publics devra participer à hauteur de 50% minimum au financement de la complémentaire santé de ses agents.


Voyons de plus près ce qui va se passer et ce que ce qui va
changer, concrètement en 3 points :

La réforme s’adresse à tous les agents et contractuels :  

Fonction publique d’État, Fonction publique hospitalière, Fonction publique territoriale : l’ensemble des employeurs publics participera au financement de la complémentaire santé de leurs agents, d’ici 2026 au plus tard.

Avancées, négociations, accords… Chaque Fonction publique avance à son rythme.

Le calendrier des négociations entre les employeurs publics et les organisations syndicales est différent selon les Fonctions publiques. La Fonction publique d’État sera la première à mettre en œuvre un contrat santé collectif obligatoire pour tous ses agents fonctionnaires et contractuels entre 2024 et 2026.

Avant la réforme, c’est vous qui souscriviez à un contrat individuel santé, c’est vous qui vous renseigniez, compariez et choisissiez, votre complémentaire santé.

Et c’est aussi vous qui supportiez 100% des coûts de ce contrat individuel. Après la réforme, votre employeur participera à hauteur de 50% au minimum à la couverture santé collective qu’il devra mettre en place.



Idée reçue #4

« La mutuelle santé et la prévoyance, ça n’a rien à voir ! »

Exactement !
Pas du tout

Exactement

La mutuelle santé ou complémentaire santé prend en charge vos frais de santé, en complément de la Sécurité Sociale. La prévoyance vous couvre financièrement pendant un arrêt de travail, une invalidité ou bien un décès. Ainsi, vos revenus sont maintenus face aux aléas de la vie.




Idée reçue #5

«  La prévoyance, ce n’est que si je suis gravement malade ! »

Vrai
Faux

Archi-faux.

Une assurance prévoyance ne couvre pas uniquement en cas de maladie grave. Souscrire un contrat prévoyance santé permet de maintenir son salaire en cas d’arrêt prolongé quelle que soit la cause ou la nature.




Idée reçue #6

« Mais la prévoyance, c’est obligatoire pour les fonctionnaires »

Bien sûr !
Et non

Et non

La prévoyance n’est pas obligatoire, mais elle est pourtant indispensable. Se protéger contre des événements imprévus ne signifie pas qu’ils vont avoir lieu, il s’agit seulement de se prémunir des impacts financiers qui peuvent être très importants. Assurer sa voiture ou sa maison semble évident, alors protéger ses revenus et son niveau de vie devrait l’être tout autant. Que ce soit pour un arrêt de travail ou bien une invalidité, la prévoyance vous protège contre les aléas de la vie. être couvert par un contrat de prévoyance complémentaire permet d’être serein.


Choisissez MGEN, la protection idéale pour vous et votre carrière ! 

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Épisode 6

Que couvre la prévoyance ?

Max, devenu expert des questions de prévoyance grâce aux aventures et mésaventures de sa compagne et de son ami Samir, défend avec beaucoup de passion la grande cause de la prévoyance pour convaincre la professeure remplaçante de Maëlle. Tel un ténor du barreau, les arguments sont poignants. Imparables. Prêt à l’écouter ?

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